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Les évaluations

 

L’évaluation est une valeur du travail évalué de l’extérieur…

Il existe 4 types d’évaluation :

-         Diagnostique

-         Formative

-         Sommative

-         Normative qui correspond le plus souvent à des normes sociales (BAC, brevet etc…)

L’évaluation diagnostique : Elle est connue essentiellement par les évaluations effectuées à l’entrée en CE2 et en 6ème, on effectue donc un diagnostique. Elle peut-être nationale mais aussi effectuée en classe pour établir des groupes de niveau.

Rappel : S’il y a évaluation, elle est toujours basée sur les objectifs de mon enseignement.

L’évaluation formative s’effectue en cours d’apprentissage (découverte, maîtrise). Elle est toujours en lien avec les apprentissages.

L’évaluation formative est effectuée pour informer, comprendre et remédier. L’erreur n’est plus une faute (il y remédiation).

Au travers de cette évaluation on souhaite :

-         Aider l’élève à progresser

-         Evaluer des objectifs clairement définis

-         On entend apprendre « quelque chose à l’apprenant »

-         Encourager

-         Travailler sur les processus

-         Elaborer un diagnostique ??!! L (mais alors à quoi sert l’évaluation diagnostique)

-         Communiquer : Communication entre le formateur et le formé

L’évaluation sommative : les moyennes…

 

Analyse des erreurs

 

L’analyse des erreurs repose sur 3 grands axes :

-         Corriger (informer)

-         Analyser les erreurs (comprendre)

-         Remédier

1)     L’autocorrection

L’autocorrection s’effectue avec le corrigé donné, c’est un exercice d’entraînement. On peut aussi utiliser des personnes ressources.

2)     La correction en binôme : il y a échange des cahiers, des devoirs ou des contrôles. On joue « le prof ». Mais les enfants trop en difficulté trouvent des erreurs qui n’existent pas ou ne trouvent pas des erreurs existantes.

Une des solutions est d’utilisée un crayon noir et de demander aux élèves de corriger sans appuyer. Ce type de correction  est intéressant pour des élèves de même niveau puisque le conflit socio-cognitif qui découle de ce type d’exercice favorise la construction des apprentissages. Donc il ne faut pas hésiter de les mettre par niveau.

3)     Correction par l’enseignant.

Les critères doivent-être définis et la correction doit-être transparente (adaptée au niveau de l’élève.)

Exemple : L’orthographe

Très bonne élève : tu as 3 fautes  à trouver…

Elève moyen : Ecrire quelques bâtons dans la marge et préciser à l’élève « Dans cette ligne corrige les fautes »

Les élèves en difficulté : Souligner les mots qui présentent des erreurs. Pour être plus précis utiliser un code (g pour la grammaire et D pour dictionnaire.)

4)     Correction collective avec un élève au tableau

Elle présente un problème de taille, les élèves en difficulté seront dépassés

Remarque : Plus la correction est proche de l’évaluation et mieux c’est… Il ne faut pas attendre 1 semaine (dans la mesure du possible) entre l’évaluation et la correction. De plus une fois corriger il faut analyser les erreurs.

            Exemple : Le roi salua ses sujets. Quel est le sujet du verbe et la plupart des élèves diront « sujets ! »

De plus ne parlons plus de faute terme sur lequel on ne rebondit pas mais plutôt d’erreur qui sont remédiables.

 

La remédiation

 

            Lors de la remédiation on fait des choix, on met l’accent en fonction du programme et ou de l’enfant :

-         Remédiation individualisée

-         Par système de tutorat

-         Par activité dirigée tâche à faire) entraînement

-         Reprise de la notion

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